6 avril 2012
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6 avril
Il semblerait donc que ce roman soit d’une grande pauvreté de vocabulaire, condamné à se restreindre à un nombre de mots qui tiendraient dans un cahier d‘écolier et non dans un gros dictionnaire.
J’élimine, j’élimine sans cesse des mots dissonants. Et encore, il ne s’agit pour l’instant que de l’écriture première, pas finie. Un long et fastidieux travail de relecture en plusieurs couches m’attend. Il s’agira là de ne rien laisser passer, de réduire le vocabulaire à ce doit être, c’est-à-dire utile, judicieux, rendant compte au mieux de la fiction préhistorique que je souhaite créer dans l’esprit du lecteur.
Peu de mots donc.
Et pourtant, avec peu on écrit tant…
À bientôt, Gulzar