Premier roman

7 mai

La place respectif et l’affrontement entre nomadisme et sédentarité ; le rapport à l’animal, sauvage et domestique, certes pas encore industrialisé ; la mort des proches ; l’invention de l’agriculture sinon du jardinage, la sexualité entre adultes, entre enfants ; l’importance et le choix des mots, la place et l’utilité du travail et de son organisation rationnelle ; les relations entre femmes et hommes, l’importance de l’enfant ; la représentation de la Nature, son exploitation ; autant de sujets fondamentaux et j‘en oublie. 

Sans oublier une bonne douzaine de personnages à ne jamais oublier.

Tout cela doit se gérer en même, à chaque chapitre, chaque paragraphe, chaque ligne. Voilà pourquoi j’avance si lentement à mon goût. Même pas à mon goût; j’avance réellement trop lentement. Mais comment faire ? L’épuisement n’est pas non plus une solution. 

Heureusement, j’ai beaucoup à écrire en parallèle. Se détendre par une autre écriture devient alors un moindre mal. 

À bientôt, Gulzar