22 juillet 2012
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22 juillet
Chaque jour, je réussi à passer entre six et huit sur le roman. Rythme lent, je n’écris pas plus vite, mais endurance difficile, pénible à acquérir.
Reste le samedi matin et le dimanche où j’écris mon feuilleton Les aventures de Wictorius du Futur, détente bienvenue et jouissif. J’en profite aussi bien sûr pour lire, développer les nouvelles des années à venir, prendre des notes ou rédiger des chroniques sur les ouvrages lus.
Le roman seul, c’est l’enfer.
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