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10 décembre 2011 6 10 /12 /décembre /2011 10:27

koltchitsky f 06

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10 décembre 2011 6 10 /12 /décembre /2011 07:08

Orion splash-test NASA Sean-Smith

orion-bouclier

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 18:52

banniere carnet roman prehistoire internet

 

Vendredi 9 décembre

 

Toujours dans les soucis de rythme, de taille finale du roman. Peu importe me direz-vous ? Pas du tout. Imagine-t-on bâtir une maison sans savoir si elle aura un ou trois étages ? 

Le plus simple est de suivre sa sensation d’auteur, sans considération d’édition ou commerciale, puis de sortir sa calculette. 

Je ne veux pas faire un long roman. Je veux un récit sec, sans graisse inutile, sans boursouflures. Un million de mots, c’est déjà trop, beaucoup trop.

Déjà 60 000 signes existants donc, avec quelque chapitres presque finis, qui me donne une vague idée de leur taille, soit environ 4 000 à 6 000 signes. Disons 6 000 signes, soir environ 1 000 mots, ce qui est peu. Chapitres légers donc, nerveux, où tout respire. 

500 000 signes me paraît être la taille maximale, presque déjà trop long. Soit alors 80 chapitres. Je n’en ai pas besoin d’autant, plutôt d’une soixantaine. Soit alors des chapitres de 8 300 signes. 

Réduisons le roman autour de 450 000 signes, avec 50 chapitres. Je peux alors obtenir un chapitre à 9 000 signes, soit 1 500 mots. Bonne équilibre me semble-t-il. Cela demande de multiplier la novela actuelle par 7, 8 seulement. 

Me voilà donc fixé sur le labeur qui m‘attend. Rien de pénible par la quantité. Voilà qui laisse la place et surtout le temps pour la qualité.  

 

À demain ! Gulzar

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 12:55

wc en pleine air

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 10:26

koltchitsky f 11

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 08:30

banniere carnet roman prehistoire internet

 

Jeudi 8 décembre 2011

 

Hier, quel soulagement et bonheur tout à la fois. J’ai repris le premier roman de 36 quai du Futur laissé en chantier début septembre. Exactement 10 482 mots, après avoir recopié un petit morceau éparpillé sur un petit cahier vert. Soit déjà 60 000 signes d’une novela et surtout une structure narrative quasiment en place. Le premier synopsis date de début 2011. 

D’ailleurs aujourd’hui je n’écris pas, je note au fur et à mesure les idées anciennes ou nouvelles, je chapitre quelque peu, c’est-à-dire divise le livre. 6 000 signes tout de même en plus.

Je réfléchis aussi à la taille idéal des chapitres. Car voilà bien un aspect qui reste invisible au lecteur et l'imprègne pourtant fortement lorsque cela est bien pensé. Le rythme d’un livre, essai ou fiction d’ailleurs, tient tout autant à ce qui est dit, de l’intensité, du suspens éventuel, que de la répartition des mots. 

Le même texte divisé en chapitres de deux ou quarante pages n’est tout simplement pas la même histoire.  

Alors pour une histoire préhistorique, que faire ? Tout simplement égaliser au maximum les chapitres, que pas un ne dépasse véritablement l’autre. Et si une scène, une journée est longue, la diviser en chapitre à son tour. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’en ces temps de vie en communion ou en lutte avec la Nature, le rythme est dicté par le soleil et la pluie, le jour et la nuit, les saisons, le froid et la chaleur, les migrations des troupeaux, tout sorte de phénomène régulier. 

Avoir des chapitres de même taille, à peu de chose près, entraîne donc le lecteur, et moi-même à l’écriture aussi d’ailleurs, dans ce rythme inlassable, surpassant toute possibilité pour l’Humain d’en définir un autre. 

Les accidents, les surprises, les drames n’en seront que plus forts, plus saisissants. 

À demain ! Gulzar

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 08:24

maison inversee

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 06:00

 banniere Gulzarama internet-copie-1

 

Résumé 

Wictorius au dodo

 

Wictorius quitta le cimetière du village volant et partit à la recherche d’un hôtel, d’un endroit où dormir dignement. Un héros comme lui combattant le Crime ne pouvait dormir comme un clochard, même si le temps était au beau fixe. 

Chanceux, il trouva un petit hôtel familial en briques orangées. Son départ précipité en robe de chambre de Copacabana pour arrêter le Canard Déchaîné en Suisse avait empêché sa secrétaire Angelica de lui réserver une chambre.

- Je prendrai un repas léger avec un jus de papaye et si possible je... 

La farouche tenancière lui barra le passage avec son balai à l’ancienne.  

- Houla, pas si vite ! J’suis pas à votre service, moi ! On fait pas de miettes dans mes draps, on ramène pas des femelles lubriques après le coucher du soleil, on bricole pas de ces saloperies numériques qui consomment de la bonne électricité éolienne, on fait son lit le matin et on bouche pas les cabinets ! C’est bien compris ? 

- Certes. Pourrais-je tout de même ronfler ? 

Après une réponse vaguement affirmatif, Wictorius monta se coucher pour sa première nuit sur Le Globe d’Argent

Son sang ne fit qu’un tour. Sur le lavabo l’attendait une savonnette X. 

 

La suite lundi…

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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 10:25

koltchitsky f 10

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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 09:30

complex crystals

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