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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 06:04

 

Bonjour à toutes et à tous.

 

Aujourd’hui, contrairement à l’habitude de ce blog, je vais chroniquer un film introuvable en dvd, quasiment impossible à voir…

Que j’ai eu la chance toutefois de visionner à la cinémathèque de ma ville, après qu’elle ait obtenu l’autorisation des ayant-droits et payé une assurance pour le transport de la pellicule. 

 

croisieres siderales

 

Curiosité donc que cette comédie de Science-fiction français tournée en 1942 aux studios d’Epinay-sur-Seine près de Paris, Croisières sidérales d’André Zwobada ; un film qui mériterait vraiment d’être édité en dvd, tant il est plaisant et plein de trouvailles de qualité, esthétiques et narratives.

Evidemment soumis à la censure du régime de Vichy, Croisières sidérales parvient tout de même à travers une fable scientifique à exprimer l‘air du temps d‘alors, assez fétide politiquement comme l‘on sait... Au visionnage, le film oscille sans cesse entre critique de la France de la collaboration et du Monde en guerre et défense des valeurs du Maréchal Pétain, sans pour autant qu’on soit sûr qu’il s’agisse bien d’une défense…

 

croisieres siderales 26

 

Un couple de scientifiques, Françoise et Robert Monier, s’apprête à rejoindre et explorer la stratosphère à bord d’un ballon pressurisé, fierté de la Science Française. Malheureusement, Robert a un accident de camion et doit rester à l’hôpital. Comme le départ ne peut être remis, Françoise part avec Lucien, un assistant de laboratoire dont l’épouse s’apprête à accoucher. 

L’ascension se passe bien, jusqu’à un malheureux accident qui propulse le ballon dans les cieux intersidéraux à très grande vitesse. Heureusement, Françoise parvient à inverser la trajectoire, et voilà nos deux héros redescendus sur Terre, guère loin de Paris.

Sauf qu’ils sont revenus vingt-cinq années après leur départ, en 1966… 

 

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Françoise retrouve donc son époux Robert bien plus vieux qu‘elle et Lucien un fils plus grand que lui...

Après une période de doute, la Science constate donc la véracité des théories de relativité du temps. Un ancien collègue de Lucien, devenu financier s’intéresse alors de près à ce nouveau marché, le voyage dans le temps, la jeunesse préservée. 


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Se monte alors une vaste entreprise de voyage. De la gare sidérale, Robert Monier repart pour un voyage avec un ballon croisière afin de retrouver Françoise quinze jours sidéraux plus tard. Tous deux auront alors le même âge…

Chaque passager ayant payé fort cher le voyage a ses raisons ; toucher l’héritage d’un oncle qui oh ! surprise lui aussi fait la croisière, un voleur voulant échapper à la police, un jeune couple très amoureux, une femme qui n’a plus envie de vivre, un vieux monsieur misanthrope, une actrice passée de mode, etc...  

 

croisieres siderales 30

 

Suite de nouveau à un accident provoqué par Lucien désirant supprimer la gravité artificielle pour blaguer, le ballon croisière se retrouve sur Vénus, où vivent des indigènes pacifiques, refusant de suivre la voie de la Terre en désordre constant, incapable de contrôler ses avancées scientifiques. 

Malgré tout, les voyageurs repartent, hormis le jeune couple amoureux, hors du temps…

De retour à la gare sidérale, Françoise et Robert Monier se promettent de repartir, mais cette fois pour la campagne, sur notre bonne vieille Terre…

 

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Voilà pour l’histoire. 

Le film, lui, oscille sans cesse entre comédie jubilatoire, critique sociale, grossières ficelles scénaristiques et réalisme technologique.

Comme expliqué en préambule du film par un carton, Croisières sidérales est basé sur un vrai principe d’astrophysique, la relativité du temps théorisé depuis peu. En voyageant très vite, près de la vitesse de la lumière, puis en revenant sur Terre, les voyageurs seraient effectivement plus jeunes que les terriens restés sur place, dans l'espace-temps référentiel…

 

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La part de véracité ne s’arrête pas là.  

Le réalisme du premier ballon très allongée est frappante, avec sa cabine de forme sphérique, très semblable au ballon du tour du monde de Bertrand Picard et Brian Jones ou celui du saut de Felix Baumgartner.

Les plans larges du ballon au-dessus des paysages nuageux sont très réalistes, bien que réalisés évidemment en studio. Le charme opère. L’on se prend vraiment à croire à ce voyage.

Mieux, lorsque François et Lucien se retrouve dans l’espace intersidéral et parviennent à freiner leur ballon devenu bolide, l’apesanteur est bien représentée à l’écran. Les deux aventuriers marchent au plafond…

L’astuce utilisée est la même que celle, réutilisée donc, dans 2001, l’Odyssée de l’Espace, un décor circulaire tournant sur son axe, avec une caméra fixée au décor mouvant. L’illusion de l’absence de gravité est ainsi spectaculaire. 

 

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Mêlée à la comédie principalement apportée par les personnages de Lucien, joué par le célèbre Carette, et le voyageur misanthrope, joué par Jean Dasté, la véracité se fait aussi sociale… Et sonne très juste. 

Tout d’abord, le film commence par l’inauguration du ballon, dans un nationalisme scientifique qui fait écho aux prix Nobels, à la compétition technoscientifique débutée au dix-neuvième siècle entre les nations européennes, les USA et le Japon. 

Vaincue, occupée en 1942, la France de fiction conserve toute son indépendance perdue…

 

Croisières sidérales se conclut également sur un message très clair du retour à la terre, au terroire français, idéologie importante du régime de Vichy, prônant l'amour de la Patrie, de ses racines paysannes. L'on peut y trouver là une fin susceptible de plaire à la censure, histoire de faire passer le reste du film, beaucoup plus tendancieux.

Mais pour autant, si on oublie cet aspect historique, la fin reste simplement doucereuse...


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Ensuite, la folie médiatique, omniprésente tout au long du film. Lucien avant de monter dans le ballon, donne même des photos qu’il avait pris soin de préparer à un journaliste pour être bien sûr d’être à la une ; journalistes qui disposent même de téléphone portable en 1966…

Les journaux s’emparent aussi bien sûr du fabuleux retour de Françoise et Lucien, plus jeunes de vingt-cinq ans, et alimentent la polémique, canular ou réalité ? 

 

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Mi anticipation, mi allusion à la France de 1942, le film donne à voir une Police assez présente. Mais loin d’être uniquement un instrument d’oppression d’une dictature elle répond plutôt à la demande de nombre de personnages, notamment les passagers aisés du ballon croisière, qui réclament à corps et à cris de la sécurité, exprimant à maintes reprises leur besoin irrépréhensible d’Ordre… Sans en préciser d’ailleurs la nature. 

 

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Croisières sidérales traite aussi longuement dans la seconde partie de l’exploitation commerciale exacerbée d’un phénomène d’astrophysique, ce qui à ma connaissance, ne s’est encore jamais fait, hormis peut-être la vente de lunettes astronomiques aux particuliers. Et encore s’agit-il là plus d’Astronomie. Jamaisencore l'énergie des trous noirs n'a été exploitée...

le film aborde véritablement un sujet SF, traité sur le fond très sérieusement.

L’entrepreneur qui décide de construire une gare stellaire, des ballons croisière est d’un rare cynisme, s’adressant par ces mots à Robert Monier, Vous, vous explorez, moi j’exploite !  

 

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La longue scène de réunion avec le couple Monier, Lucien et ses conseillers techniques et artistiques vaut son pesant d’or. Un véritable hymne à l’exploitation des masses, des pulsions humaines essentielles à seule fin de faire de l’argent.

Scène d’une rare modernité, tandis que par les baies vitrées, des engins volants traversent le ciel du Paris de 1966…

 

croisieres siderales 14

 

Enfin, plus philosophiquement, les besoins d’échapper à la Terre, au monde réel jugé insoutenable, de ralentir le temps, d’échapper illusoirement à la vieillesse, sont très bien traités à travers les différents passagers du ballon croisière, qui se croisent au bar. 

La visite sur Vénus trouve alors sa place dans le film, même si aujourd'hui, c'est certainement la partie du film la plus naïve, la plus cliché cinématographique du genre SF des années 30 à 50. 

Avec peu de choses, les différents caractères apparaissent et nous touchent, tandis que l’équipage, composé essentiellement de jeunes hôtesses, reste anonyme. Leurs motivations sont profonde, cynique ou superficielle, mais reflètent très bien finalement l’ambiance de la France occupée, déchirée entre sombre réalité et désir d’évasion. 

 

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C’est ce mélange de gouaille de titi parisien, de comique de situation servi par des répliques à la Sacha Guitry, d’avancée technologique, de véritable théorie d’astrophysique, de ficelles grossières de scénario, d’anticipation et de critique sociale qui fait le charme de Croisières sidérales, film refusant de se prendre au sérieux et assumant totalement son côté divertissant ; pour au final parvenir à parler du monde réel avec une certaine dureté.

Celui de la France de 1942, où nombre de personnes n’ont pas eu la chance de s’envoler dans les étoiles pour échapper à leur funeste destin

 

Gulzar

 

croisieres siderales 25

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 11:32

ryan church for john carter film 4

ryan church for john carter film 5

ryan church for john carter film 6

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 10:34

banniere carnet de notes auteur internet

 

Deuxième tome des nouvelles de Robert Silverberg presque fini.

Cette fois, il s'agit là de nouvelles plus ambitieuses. Poussé par les rédacteurs en chef des revues à arrêter de produire en masse pour pousser son talent en échange de l'assurance d'être publié, Silverberg donne vraiment à lire des histoires qui cette fois ne font plus leur âge...

D'ailleurs, j'en avais déjà lu certaines, dans des anthologies. Toujours à la base une idée lumineuse, développée avec le souci de personnages très humains. Dans ses textes, l'émotion est toujours mêlé à la réflexion, l'un ne l'emporte jamais sur l'autre ; c'est tout ce que j'aime et tente de faire dans mes propres textes...

Ces recueils sont aussi fascinants pour les notes, parfois de deux pages, ajoutées par Silverberg sur la naissance de chaque texte, leur vente, ses relations aux revues, etc... Je les survole, mais c'est instructif, même si l'époque des années 5à, 60 n'est pas la même bien évidemment. 

 

Résultat, j'ai une formidable envie de tenter de placer mes textes à l'étranger, Angleterre, USA, Russie, Italie, là où existent des revues qui paient leurs auteurs. Reste à trouver des traducteurs ou traductrices !

Evidemment, il s'agira de textes courts, légèrement différents de ma production habituelle, sans doute plus Hard Science, adaptés à chaque pays. Court pour ne pas y passer trop de temps, court pour ne pas décourager les  traducteurs ou traductrices et court pour laisser l'opportunité à ces revues étrangères de me publier sans avoir à sacrifier trop de pages...

Sans doute même, histoire d'en tirer un roman plus tard, rien ne doit jamais se perdre, ces courtes nouvelles tourneront autour du même thème, fascinant que je viens de définir ce weekend et auquel j'avais déjà songer, la théorie de l'information... Mais je n'en dis pas plus...

Mon souci restant que je produis trop désormais pour l'espace francophone, même avec tous les appels à textes intéressants, mon roman en cours, même avec mon feuilleton Wictorius du Futur.


Tant d'idées de textes de qualité arrivent chaque mois que les écrire sans pouvoir les faire lire me déprime... 

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 19:48

Formidable réclame reçue sur mon courriel d'auteur.

Je me fais un plaisir de vous en faire profiter...

Evidemment, j'ai appris tout cela en écrivant

des centaines de textes. 

C'est plus long d'une master classe de trois jours,

mais oh ! combien plus sûr et jouissif...


CETTE FORMATION A POUR OBJECTIF DE TRANSMETTRE LES OUTILS NARRATIFS PERMETTANT DE CONCEVOIR DES HISTOIRES À CARACTÈRE UNIVERSELS FÉDÉRANT TOUS LES PUBLICS.
Christopher Vogler s'appuie sur le travail exceptionnel du chercheur et philosophe Joseph Campbell qui, en étudiant les héros mythiques du monde entier, a mis en évidence le modèle commun qui structure toutes les histoires racontées à ce jour.
La masterclass couvre l'essentiel de la structure narrative, des 12 étapes de l'Itinéraire du héros, des huit archétypes principaux de personnages et les stratégies pour provoquer l'implication émotionnelle du spectateur.

Christopher VOGLER est un script doctor / développeur, très consulté à Hollywood, il a travaillé notamment pour DISNEY, WARNER BROS, UNITED ARTISTS, ORION PICTURES, TWENTY CENTURY FOX, PARAMOUNT et de nombreux producteurs indépendants.

il a collaboré sur l'écriture de plus de 200 projets tels que LE ROI LION, ALADDIN, LA BELLE ET LA BÊTE, BEOWULF, MEN IN BLACK 3, JE SUIS UNE LEGÉNDE, THE WRESTLER, THE FIGHTER, LA LIGNE ROUGE, FIGHT CLUB, BLACK SWAN...

Il est l'auteur de l'ouvrage 
LE GUIDE DU SCENARISTE qui a une influence très importante sur les principes de la narration.

Prise en charge par votre OPCA (comme l'Afdas) si critères acquis.
Intermittents : "Les Outils de la Narration" et "STORY" (déc. 2013)
peuvent-être financés ensemble par l’AFDAS.
Inscriptions sur www.dixit.fr et au 01.49.70.89.52 (Jean-Marc BERNE)
Facebook Rejoignez la communauté Dixit sur Facebook

 


http://www.facebook.com/pages/Dixit/100233073403697
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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 19:41

ryan church for john carter film

ryan church for john carter film 2

ryan church for john carter film 3

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 19:39

banniere Gulzarama saison2 DEF internet

 

 

Une prière n’a jamais fait de mal

 

- Nous sommes les Danbarrio !

Ils s’étaient même donné un nom de famille… Loin de tout, ces géants avaient perdu le sens commun et se croyaient devenus humains. 

Wictorius n’insista pas et les laissa croire qu’ils pouvaient impunément devenir propriétaire terrien sans un seul crédit à long terme à taux flottant, sans signer un plein formularium à roulettes ! 

Le doigt sur la gâchette, Sylvester vint lui murmurer à l’oreille. 

- Chef, il en arrive de partout, de toute les tailles ! Il faut partir au plus vite, ils vont violer la Senhora Beatrix ! 

- Mais non, bien sûr que non. Et bien, je vous félicite tous pour votre charmante progéniture !

- Pour sûr, maintenant nous ne copulons plus pour rien ! 

Personne parmi les géants n’arriva à faire taire l’ancêtre Topart sur ses exploits de père. Les étrangers finirent par être entouré d’une multitude d’enfants de géants, dont certains timides suçaient encore leur pouce ou se cachaient derrière les adultes. 

Lingor et Angora alors supplièrent Wictorius de conserver le silence, de ne rien révéler de la présence des enfants en ce lieu sacré. 

- Nul par ailleurs qu’ici nous autres géants pouvons enfanter ! Que deviendraient-ils s’ils étaient emmené loin de ZZ et tombaient entre les mains de votre Science du gigantisme ? 

Wictorius se gratta la tête. 

- Mais c’est que je suis supposé signaler à mon diocèse toute personne destinée à être évangéliser… Connaissez-vous Jesus Cristo ? 

À leur tour, les géants se grattèrent la tête. 

- Non, il n’y a personne de ce nom là par chez nous…

Qu’aurait donc fait un prédicateur épris de catholicisme en cet instant ? Wictorius se mit à genoux, leva les bras vers les frondaisons.

- Géants, tous ensemble, prions notre Seigneur ! Jesus aime tous les enfants, même les vôtres ! 

 

La suite demain !

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 17:24

banniere carnet de notes auteur internet

 

Puisque j'ai un carnet de notes sur le blog 36, autant en profiter,.. En plus désormais des chroniques consacrées aux oeuvres SF, je vous mettrai en ligne mes notes sur la littérature, la narration, la Technoscience, l'actualité eventuellement.

D'habitude prises sur un carnet, j'ai donc décidé de les partager, sauf si cela concerne directement l'élaboration de mes textes ou des idées précises d'histoires, cela reste alors du domaine du secret de fabrication !

 

Lu déjà quelques romans de Robert Silverberg bien évidemment, notamment Les monades urbaines, et quelques autres qui patientent sur une étagère...

Pour parfaire ma culture, j'ai emprunté à la bibliothèque une intégrale des nouvelles de l'auteur très prolifique, avec à vu de nez environ mille deux cent textes courts et chroniques... Certes en quarante ans !

En quatre volumes, il ne s'agit d'ailleurs heureusement pas d'une intégrale mais d'un choix raisonné de l'auteur de ses propres textes, agrémentés de commentaires.

Je ne lis pas tout, je sens quels textes m'intéressent. Et à chaque fois, l'idée est là, pas forcément transcendante, mais j'en suis aux débuts de l'auteur. Quoi que certains textes soient déjà tout à fait intéressants, simples et efficaces.  

Les thématiques sont encore très "années 50", mais peu importe. L'idée est d'accumuler de la narration, de se doper avec les auteurs les plus importants, toujours fiables. 

 Ensuite, j'attaquerai l'intégrale des nouvelles de Richard Matheson... après quelques semaines à lire des romans !

Gulzar

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 15:02

moebius nulcéaire religieux

 

En attendant un long article sur le nucléaire civil dans la Science-fiction pour début mars...

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 17:33

La collection "Ailleurs de demain" existe depuis 1969.

En 1970, apparaît, en plus, la série "Classiques", et Gérard Klein présente son projet littéraire avec l'optimisme de la jeunesse.

En 1990, c'est effectivement "Vingt ans après", et il retrace à cette occasion la conception et la naissance de la collection, puis en fait le bilan. 

Enfin, en 2003, pour ses trente-cinq ans, c'est de nouveau l'histoire de la collection et de son directeur, avec de nouveau un bilan, cette fois assortie de la liste de ses plus beaux fleurons et des prix qu'ils ont obtenus.

Trois essais au ton bien différent qu'on peut lire en partant d'ici :

http://qd.xlii.org/les_Archives_stellaires/Gerard_Klein/#Ailleurs_et_demain
ou
http://q-d.fr/asgk#Ailleurs_et_demain


Quarante-Deux: quelques pages sur la SF
Ellen C. Herzfeld - Dominique O. Martel
http://www.quarante-deux.org/ 
http://www.quarante-deux.org/index.atom

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 13:05

malbouffe afrique

malbouffe afrique 2

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