8 septembre 2012
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8 septembre
À ce rythme déjà intense, impossible de finir le roman pour décembre, même si je devais y consacrer sept jours sur sept, ce qui est impossible.
Néanmoins, ce qui est fait n’est plus à faire.
Me vient souvent l’envie par lassitude d’abréger, d’aller au plus court. Mais c’est une erreur, je le sais. Tout ce qui est à écrire doit l’être, pour ensuite finaliser, sans doute raccourcir quelque peu le texte original.
Ce n’est pas après avoir fini la fresque qu’il faut songer à l’agrandir…