Vendredi 16 décembre
Toujours dans mes 85 chapitres... J'en fusionne parfois deux ensemble, j'incorpore quelques uns oubliés dans le premier jet.
Le nouveau personnage qui vient relancer quelque peu la fin, sans être pour autant superficiel, n'aura pas à la réflexion droit à des chapitres à lui, mais sera présent dans plusieurs endroits du roman.
D'ailleurs, il n'y a pas de chapitres vraiment consacré à un personnage en particulier. L'individu dans ces petits groupes de quelques dizaines de personnes ne devait pas être la même notion que dans une société occidentalisée actuelle et cela doit se ressentir dans la structure même du roman.
Retour à la calculette une nouvelle fois. 85 chapitres à 9 000 signes, cela donne 765 000 signes. Un peu trop à mon goût. il me faudra certainement plus rester à 7 000 signes par chapitre, ce qui donnerait 595 000 signes, déjà plus raisonnable.
Pour ce récit préhistorique, j'ai besoin de légèreté, pas de lourdeur ; peu de phrases pour dire énormement plutôt qu'un trop plein de mots, de description pour des êtres à la vie sans grandes fioritures.
L'idéal à atteindre, un roman préhistoire écrit par Simenon.
A demain ! Gulzar