19 septembre
Énorme chapitre de près de 9 000 mots fini…
Un véritable foutoir ou j’ai déjà enlevé trois passages, reportés plus loin… Aucun souci narrative, mais un trop plein de bonnes scènes, qui ne trouvent pas encore tout à fait leur juste place dans l’enchaînement des journées et l’évolution des rapports entre les deux groupes, véritables héros du roman.
Il faudra tout redécouper, revoir après avoir fini l’écriture première. Je ne sais pas encore si je pourrai garder les quatre-vingt-dix chapitres prévus en les quadruplant de taille au minimum ou s’il y en aura plus…
Je revois aussi les titres de chapitres, qu’ils soient drôles, ironiques, trompeurs. Qu’ils apportent véritablement du plaisir de lecture, participe du récit.
Gulzar
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