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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 11:06

sam brown 01

On rêve d'en avoir un au salon... On ne risquerait plus de voler l'écran plat et les couverts en argent de la grand-mère... Blague à part, ça fait peur...

sam brown 02

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 07:45

banniere capharnaum internet

 

Sur RDB, de superbes sculptures de robots, seconde partie  !!!

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 13:49

banniere buffon internet

 

Aujourd'hui, nous aborderons le thème de la reproduction...

 

 

 

HISTOIRE NATURELLE.

HISTOIRE DES ANIMAUX.

CHAPITRE II.

 

De la Reproduction en général.


 

" Examinons de plus près cette propriété commune à l’animal et au végétal, cette puissance de produire son semblable, cette chaîne d’existences successives d’individus, qui constitue l’existence réelle de l’espèce ; et sans nous attacher à la génération de l’homme ou à celle d’une espèce particulière d’animal, voyons en général les phénomènes de la reproduction, rassemblons des faits pour nous donner des idées, et faisons l’énumération des différents moyens dont la Nature fait usage pour renouveller les êtres organisés.


 

Le premier moyen, et, selon nous, le plus simple de tous, est de rassembler dans un être une infinité d’êtres organiques semblables, et de composer tellement sa substance, qu’il n’y ait pas une partie qui ne contienne un germe de la même espèce, et qui par conséquent ne puisse elle-même devenir un tout semblable à celui dans lequel elle est contenue.

Cet appareil paraît d’abord supposer une dépense prodigieuse et entraîner la profusion, cependant ce n’est qu’une magnificence assez ordinaire à la Nature, et qui se manifeste même dans des espèces communes et inférieures, telles que sont les vers, les polypes, les ormes, les saules, les groseilliers et plusieurs autres plantes et insectes dont chaque partie contient un tout, qui par le seul développement peut devenir une plante ou un insecte.

En considérant sous ce point de vue les êtres organisés et leur reproduction, un individu n’est qu’un tout uniformément organisé dans toutes ses parties intérieures, un composé d’une infinité de figures semblables et de parties similaires, un assemblage de germes ou de petits individus de la même espèce, lesquels peuvent tous se développer de la même façon, suivant les circonstances, et former de nouveaux tous composez comme le premier.


 

En approfondissant cette idée nous allons trouver aux végétaux et aux animaux un rapport avec les minéraux que nous ne soupçonnions pas : les sels et quelques autres minéraux sont composez de parties semblables entr’elles et semblables au tout qu’elles composent ; un grain de sel marin est un cube composé d’une infinité d’autres cubes que l’on peut reconnaître distinctement au microscope, ces petits cubes sont eux-mêmes composés d’autres cubes qu’on aperçoit avec un meilleur microscope, et l’on ne peut guère douter que les parties primitives et constituantes de ce sel ne soient aussi des cubes d’une petitesse qui échappera toujours à nos yeux, et même à notre imagination. Les animaux et les plantes qui peuvent se multiplier et se reproduire par toutes leurs parties, sont des corps organisés composés d’autres corps organiques semblables, dont les parties primitives et constituantes sont aussi organiques et semblables, et dont nous discernons à l’œil la quantité accumulée, mais dont nous ne pouvons apercevoir les parties primitives que par le raisonnement et par l’analogie que nous venons d’établir.


 

Cela nous conduit à croire qu’il y a dans la Nature une infinité de parties organiques actuellement existantes, vivantes, et dont la substance est la même que celle des êtres organisés, comme il y a une infinité de particules brutes semblables aux corps bruts que nous connoissons, et que comme il faut peut-être des millions de petits cubes de sel accumulés pour faire l’individu sensible d’un grain de sel marin, il faut aussi des millions de parties organiques semblables au tout, pour former un seul des germes que contient l’individu d’un orme ou d’un polype ; et comme il faut séparer, briser et dissoudre un cube de sel marin pour apercevoir, au moyen de la cristallisation, les petits cubes dont il est composé, il faut de même séparer les parties d’un orme ou d’un polype pour reconnoître ensuite, au moyen de la végétation ou du développement, les petits ormes ou les petits polypes contenus dans ces parties.

La difficulté de se prêter à cette idée ne peut venir que d’un préjugé fortement établi dans l’esprit des hommes, on croit qu’il n’y a de moyens de juger du composé que par le simple, et que pour connaître la constitution organique d’un être, il faut le réduire à des parties simples et non organiques, en sorte qu’il paraît plus aisé de concevoir comment un cube est nécessairement composé d’autres cubes, que de voir qu’il soit possible qu’un polype soit composé d’autres polypes ; mais examinons avec attention et voyons ce qu’on doit entendre par le simple et par le composé, nous trouverons qu’en cela, comme en tout, le plan de la Nature est bien différent du canevas de nos idées. "

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 13:40

banniere capharnaum internet

 

Sur RDB, de superbes sculptures de robots, première partie !!!

darkroastedblend.com/chrome-delicious-robot-art-ray-guns

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 19:58

 

 

Bonjour à toutes et à tous.
Bonne nouvelle, j’ai gagné le second concours de nouvelles dans la catégorie public, organisé par l’ENSTA et Science & Avenir. Le thème en était Un clic, un big, un imprévu, et tout bascule.
Le premier prix consiste en une magnifique croisière en Norvège, ainsi qu’une carte d’entrée annuelle à la Cité de la Science. Un grand merci aux organisateurs donc, notamment Laurence Decréau et Dominique Leglu.

Le jury était présidé cette année par Andréa H. Japp, scientifique et auteur de polar, avec Roland Lehoucq, Sven Ortoli, Olivier Rey, Jacques-Antoine Malarewicz.

 

roman andrea japp

 

livre roland lehoucq

 

baignoire archimede sven ortoli

Mon texte, C’était mon dernier bateau, situé en Inde et où il est question de métal, sera rapidement sur le site de Science & Avenir avec cinq autres textes, puis un recueil similaire à celui de 2010 sera publié en novembre. Je vous tiendrai au courant.
Le concours devrait se poursuivre l’année prochaine, avec un nouveau thème.
Gulzar


Site du concours, qui publiera sous peu les résultats :

http://concours-nouvelles.ensta-paristech.fr/index.php



Voici quelques photos du site de démontage de bateaux de la baie d’Alang, situé au nord de Bombay, lieu du début de ma nouvelle. Ici, une part très importante de tous les bateaux et cargos, en métal, civil ou militaire, sont démontés, découpés au chalumeau à l‘Alang Ship Recycling yard. Les matériaux dangereux comme l’amiante y sont aussi enlevés, dans des conditions de travail précaires, pour le moins.

L’état du Gujarat par contre est l’un des plus riches d’Inde, le premier producteur de lait de vache...

 

alang 12

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alang 9

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 19:55

Bonjour à toutes et à tous.

 

Géante Rouge, nouvelle formule, est sortie d'imprimerie. Je vous propose le sommaire, avec un de mes textes de 2008, que j'ai du réécrire pour la publication. Il comportait surtout des dialogues pas au niveau de la revue... Merci encore au rédac'chef d'avoir sélectionné mon texte.

Je vais d'ailleurs ne pas tardé à leur envoyer deux ou trois autres nouvelles inédites de tailles différentes pour 2012, en espérant être sélectionné à nouveau.

 

Couv geante rouge 2011

  

Editorial de Patrice Lajoye

 

Il paraît que dans une revue, le rédacteur en chef est tenu d’écrire un éditorial. Il paraît. Sauf que ma dernière expérience dans le domaine remonte à plus de dix ans, dans d’obscurs fanzines maintenant oubliés de tous. Me voilà donc bien embêté.

L’exercice est d’autant plus délicat que me voilà aussi au sommaire de ce numéro 19 de Géante Rouge. Ah, autopublication honnie... Bref, bien des choses à justifier. Géante Rouge, primitivement trimestriel, est devenu une publication annuelle, avec au sommaire plus de pages, et donc plus de texte que dans les numéros précédents, même si au final il est vrai que la quantité de textes publiés sur la même durée sera sans doute inférieure. Il se trouve donc que lorsque Pierre Gévart m’a confié les rênes de cette revue, le sommaire d’un Géante Rouge n°19, formule trimestrielle, était déjà largement établi... et que j’y étais. Un passif que j’assume, même si cela sera bien la dernière fois qu’on me lira dans ces pages.

Que trouvera-t-on donc au sommaire de Géante Rouge nouvelle formule ? Toujours des dossiers consacrés à des auteurs français, bien sûr – deux dans ce numéro, avec Jeanne-A Debats et Jean-Michel Calvez. Toujours le prix Pépin, qui célèbre le format ultra-court (moins de 300 signes !). Mais aussi et surtout bon nombre d’auteurs peu ou pas connus, car Géante Rouge, qui reste un fanzine, a la volonté de leur offrir un espace non seulement de publication, mais aussi de travail sur leurs textes.

Tous ici ont fait l’objet de deux aller et retour au moins entre la rédaction et leurs auteurs. Un minimum pourriez-vous pensez, mais qui n’existe pas toujours au niveau de périodiques à parution plus resserrée, pressés par le temps. Du temps, nous en avons. Et si les conditions ont été un peu exceptionnelles pour ce premier numéro, qui marque une transition, à l’avenir, nous pourrons dire à nos auteurs : pas de panique, prenez votre temps, faites les choses bien.

Le résultat sera-t-il à la hauteur ? Ma foi, ce sera à vous de nous le dire. N’hésitez pas à nous contacter (geante.rouge@gmail.com), à nous faire part de vos remarques, de vos critiques et suggestions. De vos voeux, aussi : quels auteurs souhaiteriez-vous voir faire l’objet d’un dossier, par exemple.

Géante Rouge vous est ouvert.

 

 

Dossier : L’envol de Draco. Jeanne-A Debats

Entretien, par Lucie Chenu

 

Jeanne-A Debats, Asmodeus ex machina

Bibliographie commentée, par Lucie Chenu

 

Meddy Ligner, Partition de vie.

 

Patrice Lajoye, Souvenirs ?

 

Gulzar Joby, L’Ami Thornbjörn au travail

 

Dossier : Jean-Michel Calvez

Jean-Michel Calvez, Safari

Entretien, par Elian Krawiek

 

 Laurent Million, Mater Supply

Hugo Van Gaert, Situation désespérée

Sébastien Clarac, L’OEil de Skadi

Denis Roditi, La Cité des désaxés

Prune Matéo, Le Chant des sirènes

Prune Matéo, Les Dormeurs

Didier Reboussin, Vanité

Jean-Félix Lyon, In Silico

 

Prix Pépin 2010 

Les auteurs par eux-mêmes

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 19:35

Bonjour à toutes et à tous.


En visite à Paris, j’en ai bien sûr profité pour rendre visite à ces endroits magiques que l’on nomme librairie et bouquiniste SF…
Voici ma liste de courses, perspective de saines lectures.

Bouquiniste L’amour du Noir

11, rue du Cardinal Lemoine

tous les jours 12h / 19h

01 43 29 25 66

amourdunoir@wanadoo.fr

http://perso.wanadoo.fr/amourdunoir
Si vous venez à la Capitale, n’hésitez pas à le visiter, c’est très complet.

J.C. Ballard
Appareil volant à basse altitude
La forêt de cristal
Le monde englouti
Cauchemar à quatre dimensions
Je poursuis petit à petit la lecture de ce grand maître du récit d’anticipation.

Stanislas Lem
Solaris
Avec une magnifique couverture incluant une photographie du film de Tarkovski

Greg Bear
L’envol de mars
La musique du sang
Eons
Éternité
De la saine lecture donc, après l’avoir découvert par son recueil de nouvelles, Axiomatique.

Pierre bordage
Abzalon

J'ai également pris quelques livres dont j’ai trouvé les références dans l’ouvrage de référence Space Opera édité aux Moutons Electriques

Louis Thirion
Ysée-A

Charles Harness
L’anneau de Ritornel
Vol vers hier

Colin kapp
Manalone (une édition Galaxies Bis !)

Edmond Hamilton
Les loups des étoiles
J’avoue n’avoir jamais lu l’inspirateur de la Série d’animation Captain Futur, ou Capitain Flam en français.

J'ai rendu également une petite visite à

la librairie Scylla

8, rue Riesner dans le 12ème.

06 24 64 22 08

ouvert lundi, jeudi, vendredi de 12h à 20h, samedi de 10h à 20h.

librairiescylla@hotmail.com

 


Dimension suisse, Rivière Blanche
Je n’ai pas encore attaqué Dimension Russie…

La guerre du Feu et autres romans préhistoriques
De J. H. Rosny Aîné
Collection Bouquins, Robert Laffont
Je suis très content d’avoir mis la main sur cet ouvrage de référence, avec quatre romans et des nouvelles, en préparation d’une uchronie préhistorique, que je destine à la revue Galaxies. Travailler en ayant lu le grand maître me permettra de mieux me situer dans ce genre paradoxale de la SF que constitue le roman préhistorique.

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 19:33

Bonjour à toutes et à tous.
Il faut que vous le sachiez, il n’y a pas que La recherche et d’autres dans le vaste monde des publications scientifiques.
Il y a aussi le hors-série de Fluide Glacial, Ramène pas ta science. Je vous le conseille...

 

fluideglacial ramene-pas-ta-science


Bien sûr, il y aurait comme de la moquerie dans l’air, mais après tout, la technoscience est un pouvoir et tout pouvoir doit être porté en dérision.

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 08:34

banniere buffon internet

 

Aujourd'hui, nous lirons avec attention la dernière phrase. En effet, elle est sans doute l'une des phrases fondatrices de la science contemporaine, où tout est matière..!


HISTOIRE NATURELLE.
HISTOIRE DES ANIMAUX.
CHAPITRE PREMIER.

Comparaison des Animaux et des Végétaux.



"  Passons maintenant à la comparaison des animaux et des végétaux pour le lieu, la grandeur et la forme. La terre est le seul lieu où les végétaux puissent subsister ; le plus grand nombre s’élève au dessus de la surface du terrain, et y est attaché par des racines qui le pénètrent à une petite profondeur ; quelques-uns, comme les truffes, sont entièrement couverts de terre, quelques-autres, en petit nombre, croissent sur les eaux, mais tous ont besoin, pour exister, d’être placés à la surface de la terre : les animaux au contraire sont bien plus généralement répandus, les uns habitent la surface, les autres l’intérieur de la terre, ceux-ci vivent au fond des mers, ceux-là les parcourent à une hauteur médiocre ; il y en a dans l’air, dans l’intérieur des plantes, dans le corps de l’homme et des autres animaux, dans les liqueurs, on en trouve jusque dans les pierres (les dails).

Par l’usage du microscope on prétend avoir découvert un très grand nombre de nouvelles espèces d’animaux fort différentes entre elles ; il peut paraître singulier qu’à peine on ait pu reconnaitre une ou deux espèces de plantes nouvelles par le secours de cet instrument ; la petite mousse produite par la moisissure est peut-être la seule plante microscopique dont on ait parlé, on pourroit donc croire que la Nature s’est refusée à produire de très petites plantes, tandis qu’elle s’est livrée avec profusion à faire naître des animalcules ; mais nous pourrions nous tromper en adoptant cette opinion sans examen, et notre erreur pourrait bien venir en partie de ce qu’en effet les plantes se ressemblant beaucoup plus que les animaux, il est plus difficile de les reconnaître et d’en distinguer les espèces, en sorte que cette moisissure que nous ne prenons que pour une mousse infiniment petite, pourrait être une espèce de bois ou de jardin qui seroit peuplé d’un grand nombre de plantes très différentes, mais dont les différences échappent à nos yeux.

Il est vrai qu’en comparant la grandeur des animaux et des plantes elle paraîtra assez inégale ; car il y a beaucoup plus loin de la grosseur d’une baleine à celle d’un de ces prétendus animaux microscopiques, que du chêne le plus élevé à la mousse dont nous parlions tout à l’heure, et quoique la grandeur ne soit qu’un attribut purement relatif, il est cependant utile de considérer les termes extrêmes où la Nature semble s’être bornée.
Le grand paraît être assez égal dans les animaux et dans les plantes, une grosse baleine et un gros arbre sont d’un volume qui n’est pas fort inégal, tandis qu’en petit on a cru voir des animaux dont un millier réunis n’égaleraient pas en volume la petite plante de la moisissure.

Au reste, la différence la plus générale et la plus sensible entre les animaux et les végétaux est celle de la forme ; celle des animaux, quoique variée à l’infini, ne ressemble point à celle des plantes, et quoique les polypes, qui se reproduisent comme les plantes, puissent être regardés comme faisant la nuance entre les animaux et les végétaux, non seulement par la façon de se reproduire, mais encore par la forme extérieure, on peut cependant dire que la figure de quelque animal que ce soit, est assez différente de la forme extérieure d’une plante, pour qu’il soit difficile de s’y tromper.
Les animaux peuvent à la vérité faire des ouvrages qui ressemblent à des plantes ou à des fleurs, mais jamais les plantes ne produiront rien de semblable à un animal, et ces insectes admirables qui produisent et travaillent le corail, n’auraient pas été méconnus et pris pour des fleurs, si par un préjugé mal fondé on n’eût pas regardé le corail comme une plante.

Ainsi les erreurs où l’on pourrait tomber en comparant la forme des plantes à celle des animaux, ne porteront jamais que sur un petit nombre de sujets qui font la nuance entre les deux, et plus on fera d’observations, plus on se convaincra qu’entre les animaux et les végétaux le Créateur n’a pas mis de terme fixe, que ces deux genres d’êtres organisés ont beaucoup plus de propriétés communes que de différences réelles, que la production de l’animal ne coûte pas plus, et peut-être moins à la Nature que celle du végétal, qu’en général la production des êtres organisés ne lui coûte rien, et qu’enfin le vivant et l’animé, au lieu d’être un degré métaphysique des êtres, est une propriété physique de la matière.  "

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5 mai 2011 4 05 /05 /mai /2011 14:02

premier-appareil-photo-numerique-kodak

 

Objet courant aujourd'hui et demain plus encore intégré aux téléphones portables, mettant à mal la photo argentique et le polaroïd de Kodak, c'est pourtant cette même firme qui a oeuvré sur l'appareil photo numérique. Remarquez la cassette audio, qui doit sans doute contenir en binaire les informations photo saisies par le capteur.

Pas de date, ni de performance en pixels...

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